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Qu’est-ce que le VPH?

Le VPH, ou virus du papillome humain, est l’infection transmissible sexuellement la plus fréquente actuellement dans le monde et peut toucher toute personne active sexuellement, aussi bien les femmes que les hommes. L’utilisation du condom peut réduire le risque de contracter le VPH, bien que cette infection soit très contagieuse, et le condom n’offre pas une protection complète. L’infection peut être transmise par simple contact cutané ou buccogénital, sans qu’il y ait relation sexuelle complète.

L’infection par le VPH est courante

« Il n’y a pas de quoi s’en faire… jusqu’à ce que ça vous touche. »

Le VPH est un virus transmissible sexuellement qui est courant. De nombreux types de VPH sont associés à un risque faible et disparaissent spontanément, alors que d’autres peuvent causer des verrues génitales. Il existe aussi des types qui sont associés à un risque élevé et qui peuvent causer des cancers tels que les cancers du col de l’utérus, du vagin, de la vulve, de l’anus et certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche.

Le VPH est courant

« Les porteurs du virus peuvent le transmettre sans même le savoir*.»

On estime que 75 % des Canadiens actifs sexuellement contracteront au moins une infection par le VPH au cours de leur vie. Votre partenaire peut avoir une infection par ce virus et vous le transmettre sans présenter le moindre signe ou symptôme. Bien que le condom réduise le risque de contracter le VPH, ce virus peut toutefois être transmis par contact cutané ou buccogénital, sans qu’il y ait relation sexuelle complète.

* GARDASIL®9 n’est pas indiqué pour réduire la transmission.

Le VPH est responsable de près de 100 % des cas de cancer du col de l’utérus.

« On estime que 1 400 Canadiennes recevront un diagnostic de cancer du col de l’utérus chaque année. »

Le VPH peut également causer d’autres cancers comme les cancers de la vulve, du vagin, de l’anus et certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche.

Le VPH peut également causer des verrues génitales.

« Verrues génitales. Faut-il vraiment vous faire un dessin? »

On estime que, toutes les 15 minutes, un Canadien contracte des verrues génitales. Les verrues génitales peuvent causer un stress émotionnel considérable, et il se peut qu’elles doivent être éliminées à l’aide de médicaments ou d’une intervention chirurgicale†‡, ce qui ne les empêchera pas nécessairement de revenir.

† GARDASIL®9 n’est pas indiqué pour le traitement des verrues génitales.

‡GARDASIL®9 n’est pas indiqué pour remédier aux conséquences des verrues génitales.

La vaccination contre le VPH N’EST PAS réservée aux jeunes.

« Les hommes et les femmes peuvent recevoir le vaccin jusqu’à 45 ans. »

GARDASIL®9 peut être administré aux personnes de 9 à 45 ans.

Renseignements sur l’innocuité

GARDASIL®9 est un vaccin indiqué chez les personnes âgées de 9 à 45 ans pour la prévention de l’infection par le virus du papillome humain (VPH) des types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58 et des maladies suivantes causées par les VPH de ces types contenus dans le vaccin : certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche, causés par les VPH des types 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58. GARDASIL®9 a été approuvé avec conditions. Cela signifie qu’il a réussi l’examen de Santé Canada et qu’il peut être acheté et vendu au Canada, mais que le fabricant a accepté de mener d’autres études pour confirmer que le vaccin agit bien comme prévu. Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec votre professionnel de la santé.

GARDASIL®9 est aussi indiqué chez : les personnes âgées de 9 à 45 ans pour la prévention de l’infection par les VPH des types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58 et des maladies suivantes causées par les VPH de ces types contenus dans le vaccin : cancers du col de l’utérus, de la vulve, du vagin et de l’anus causés par les VPH des types 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58, verrues génitales (condylomes acuminés) causées par les VPH des types 6 et 11, lésions cervicales anormales et précancéreuses (modifications dans les cellules du col de l’utérus qui peuvent devenir cancéreuses) observées au test Pap et causées par les VPH des types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58, lésions anormales et précancéreuses du vagin, de la vulve (région génitale externe chez la femme) et de l’anus causées par les VPH des types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58.

GARDASIL®9 ne peut protéger la personne vaccinée contre toute maladie causée par d’autres types de VPH, virus ou bactéries, ni contre les types de VPH qu’elle pourrait déjà avoir contractés, mais la plupart des personnes n’ont pas contracté tous les types de VPH contenus dans le vaccin. GARDASIL®9 ne traite pas l’infection par le VPH.  GARDASIL®9 ne supprime pas la nécessité du dépistage des cancers du col de l’utérus, de la vulve, du vagin, de l’anus et de certains cancers de la tête et du cou, comme les cancers de la gorge et de l’arrière de la bouche; les femmes doivent encore passer un dépistage du cancer du col de l’utérus de routine. Vous ne devriez pas recevoir GARDASIL®9 pendant la grossesse. Si vous envisagez de devenir enceinte ou si vous l’êtes déjà, vous devez attendre la fin de votre grossesse pour terminer votre série vaccinale. Sur plus de 1 000 grossesses, les femmes qui étaient enceintes ou qui sont devenues enceintes après avoir reçu GARDASIL®9 n’ont pas présenté de risque accru de fausses couches ni de malformations congénitales. Les femmes qui ont reçu GARDASIL®9 pendant leur grossesse sont invitées à déclarer toute exposition ou tout effet indésirable soupçonné à Merck Canada Inc. au 1 800 567-2594. On ignore si GARDASIL®9 est excrété dans le lait maternel humain. Si vous allaitez, consultez votre médecin ou votre professionnel de santé pour savoir si vous devriez vous faire vacciner par GARDASIL®9. Informez votre médecin ou votre professionnel de santé si vous ou votre enfant (la personne qui reçoit GARDASIL®9) êtes enceinte ou prévoyez de le devenir. GARDASIL®9 risque de provoquer des effets secondaires et des réactions allergiques. Les effets secondaires les plus souvent observés sont la douleur, l’enflure, la rougeur, la démangeaison, une ecchymose (bleu), un saignement et une masse au point d’injection, de même que des maux de tête, de la fièvre, des nausées, des étourdissements, de la fatigue, de la diarrhée, de la douleur abdominale et des maux de gorge. Un évanouissement peut survenir après l’injection du vaccin contre le VPH. Les signes d’une réaction allergique comprennent les difficultés respiratoires, la respiration sifflante (bronchospasme), l’urticaire et l’éruption cutanée. Cette liste d’effets secondaires n’est pas complète; en cas d’effet inattendu pendant la prise de GARDASIL®9, communiquez avec votre médecin ou votre pharmacien ou pharmacienne. Contactez votre médecin ou votre professionnel de la santé pour déterminer si GARDASIL®9 est une option qui pourrait vous convenir.

Vous trouverez de l’information sur GARDASIL®9 dans la monographie de produit et à la section Renseignements pour les consommateurs accessibles ici.

VPH = virus du papillome humain.

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